Is het beter te leven voor je land, dan te sterven voor je land? Historiografische, heuristische en methodologische reflecties over de geschiedenis van het verzet in België tijdens de Tweede Wereldoorlog
ATTENTION : des corrections ont été apportées à ce texte de débat après sa publication papier. Il s'agit de cinq corrections de nombres : ‘18.716’ au lieu de ‘18.176’ à la p. 226 ; ‘136.576’ au lieu de ‘131.879’ à la p. 227 ; ‘25.427’ au lieu de ‘25.247’, ’12.157’ au lieu de ’10.039’ et ’41.135’ au lieu de ’41.315’, toutes les trois à la p. 228. Cette version numérique est la seule version correcte.
To quote : Filip Strubbe, 'Een onverteerde brok geschiedenis? Het archief van de Nationale Landbouw- en Voedingscorporatie', in : Nico Wouters (ed.),75 years of Second World War history in Belgium, Journal of Belgian History, XLIX, 2019, 2-3, pp. 110-118.
De l'utilisation des sources orales pour l'étude de la Seconde Guerre mondiale a I'échelon local. L'exemple des séminaires sur la vie quotidienne en Wallonie menés à l'UCL entre 1984 et 1998
Entre 1984 et 1998, Jacques Lory dirige à l'UCL cinq séminaires sur la vie quotidienne sous l'occupation et à la Libération dans 125 communes du Brabant wallon, du Namurois et du Hainaut. Les quelque 1.100 témoignages recueillis à cette occasion sont aujourd'hui conservés au CegeSoma. Ils constituent un apport de grande valeur pour la mémoire et l'histoire de la Seconde Guerre mondiale en Belgique