Cet article résume les résultats d'une étude menée sur un échantillon de mille Grecs venus travailler dans les mines belges entre 1955 et 1964. Nous mettrons en lumière les apports spécifiques d'une démarche quantitative à la connaissance de ce flux migratoire mais montrerons aussi ses insuffisances et l'intérêt qu'il y a à l'associer à d'autres méthodes.