Après la guerre Sino-Japonaise de 1895, les puissances occidentales ont commencé à s’imposer de manière plus agressive qu’avant dans l’empire semi-colonial Qing. Cette concurrence inter-impériale n’a certainement pas constitué un obstacle à la coopération et à l’échange continu de pratiques impériales. Les puissances se sont retrouvées entre autres dans l'imposition d’un discours commun de modernité.
À l’apogée de l’alliance transatlantique entre la Belgique et les États-Unis, le ministère belge des Affaires étrangères a construit une nouvelle chancellerie – la section des bureaux d'une ambassade – à Washington D.C. Les chercheurs en histoire de l’architecture diplomatique se sont principalement concentrés sur la politique de construction des (anciennes) grandes puissances comme les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France et la Russie.
In 1936, the Australian War Memorial acquired two stone lions that once guarded the Menin Gate entrance to the Belgian town of Ypres. The Memorial’s director, John Treloar, felt the Memorial had scored a “great scoop” because of their “historical value”. However, when the lions arrived in Canberra, it was apparent the damage they sustained during the war meant they would need to undergo some form of restoration. Unfortunately, little progress was made in this endeavour for several decades and the lions did not end up going on permanent display until 1991.